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Paroles Tu Me Tromperas
Le trésor des saisons qui passent
Le secret d'un amour qui dure
Viennent du feu qu'on voit sur la glace
Des poèmes écrits sur les murs
L'espoir de ces années qui lassent
Ressemble à toutes ces sépultures
Qu'on regarde, le temps qu'elles s'éffacent
De notre mémoire... c'est le plus dur
Et tu me tromperas
Malgré les habitudes
Qui font les certitudes
De ces amants qui ne se détestent pas
Et tu me tromperas
Tu trouveras la clef
Pour franche le pas
Comme ces amants qui ne s'aiment peut-être pas
Les certitudes un jour condamnent
Elles choisissent un peu à leur tour
Transforment les sourires en larmes
Et supportent le poids de l'amour
Même si je pense que te garder en cage
Evite le naufrage
Tu te trompes
Je me trompe
Même si je pense que l'amour emprisonne
Qu'il reprend ce qu'il donne
Je me trompe
Et tu me tromperas
Malgré les habitudes
Qui font les certitudes
De ces amants qui ne se détestent pas
Et tu me tromperas
Tu trouveras la clef
Pour franche le pas
Comme ces amants qui ne s'aiment peut-être pas
Qui ne s'aiment peut-être pas
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Paroles 3, 5, 7
Ce souvenir de toi, dure
Dure la vie que je mène
Se souvenir de toi, sûr
Sur mes lèvres des je t'aime
Au fur et à mesure
Démesure d'une reine
Une rencontre hasardeuse
Aveugle, je me cache
Dans cette vie emmerdeuse
Y a une fille qui se gâche
Au fur et à mesure
Je mesure ma peine
3 jours à se voir
5 mois pour y croire
7 ans... j'ai perdu trop de temps
3 jours à se voir
5 mois pour y croire
7 ans, j'attends
Sans le savoir, toutes
Les apparences se fâchent
Je n'étais pas heureux
Mon avenir s'entache
Au fur et à mesure
Je suis sûr de ma peine
3 jours à se voir
5 mois pour y croire
7 ans... et j'en ai mis du temps
3 jours à se voir
5 mois pour y croire
7 ans, j'attends
Il faut que je la revoie
Mon inconscient l'enlace
Revenu anonyme, mais cash
Moi qui n'attendais plus
Maintenant c'est pour elle
C'est pour elle, que je marche
3 jour à se voir
5 mois pour y croire
7 ans...
3 jours à se voir
5 mois pour y croire
7 ans... j'attends
J'attends
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Paroles Dieu Qu'elle était Belle
Dieu qu'elle était belle, si blanche, si claire
Ce dimanche de janvier
Dieu qu'elle était celle que j'attendais,
Telle que je l'avais toujours rêvée
Je ne me souviens guère des gens
Ni de l'hiver, je n'ai vu qu'elle et ça n'a plus changé
Dieu qu'elle était belle, en une étincelle
Ma vie s'est illuminée
Dieu que j'ai dû ruser, pour enfin l'approcher,
Pour un peu l'apprivoiser
Le regarder vivre, bouger, sourire,
Jamais je ne m'en lassais
Dieu qu'elle était mienne dans mes nuits
Mes rêves, j'en rougissait quand je la revoyais
Mais ses bises légères, ami, presque frère,
Dieu que je les détestais
Dieu que ce fut clair dans ses yeux, ses airs,
Quand j'ai vu l'autre approcher
En propriétaire, ses mots, ses manières,
Moi je n'étais pas assez
Dieu qu'elle est cruelle, la vie si cruelle;
Quand je l'ai vu la gagner
Dieu qu'elle était belle, si blanche, si claire,
Dans sa robe de mariée.
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Paroles À La Vie !
A la vie, à l'amour
Que ces moments-là restent en nous pour toujours
A l'amitié, aux beaux jours
Qu'ils éclairent vos parcours
Bonne route et à demain
Que rien ne sépare jamais nos chemins
Bonne chance et prenez soin
Du monde autant que de vous
Au bonheur, au plaisir
Que le cynisme ne jamais vous abîme
A la musique, à nos rires
Qu'ils sachent nous réunir
Que vous appreniez d'hier, que les traces
De vos pères jamais ne s'éffacent
Que la santé vous garde
Et que des enfants
Vous chantent un jour
A vous rendre sourds
A la vie, à l'amour
Que ces moments-là restent en nous pour toujours
A l'amitié, aux beaux jours
Qu'ils éclairent vos parcours
Bonne route et à demain
Que rien ne sépare jamais nos chemins
Bonne chance et prenez soin
Du monde autant que de vous
Que vous posiez votre pierre à la tâche
Votre jolie lumière, votre grâce
Soyez curieux, ne cessez jamais d'apprendre
Voir, écouter
Sentir, entendre
A la vie, à l'amour
Que ces moments-là restent en nous pour toujours
A l'amitié, aux beaux jours
Qu'ils éclairent vos parcours
Bonne route et à demain
Que rien ne sépare jamais nos chemins
Bonne chance et prenez soin
Du monde autant que de vous
Au bonheur, au plaisir
Que le cynisme jamais ne vous abîme
A la musique, à nos rires
Qu'ils sachent nous réunir
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Paroles Perdu Connaissance
C'est pas à pas sans rien dire
Comme une maison perd sa couleur
Comme un nuage qui se déchire
Un fil qui casse entre deux coeurs
C'est une excuse au téléphone
Un caillou pris dans le pare-brise
Et même si ce n'est pour personne
C'est un adieu qui se déguise
L'habitude de ne plus te taire
L'angoisse de retrouver nos nuits
Un jean usé comme l'enfer
Une barbe en guise de mépris
Et si un jour on s'abandonne
Je te conjure de lâcher prise
Faire comme les autres c'est monotone
Et c'est comme ça
Qu'on a perdu connaissance
Et c'est comme ça
Qu'est née mon indifférence
Tout près de toi
Si loin déjà
Le soin de vider son portable pour éviter la vérité
Et devenir insupportable
Pour être sûr d'être quitté
La porte qui claque comme une insulte
Une jupe qui craque comme une bombe
Croire que l'amour n'est qu'une lutte
Et que la vie lui sert de tombe
Masquer sans pitié son visage
Pour ne pas dire qu'on s'est trompé
Qu'on s'est enfermé dans une cage
Où l'amour nous a massacré
Et si un jour on s'empoisone
Je te conjure de lâcher prise
Faire comme les autres c'est monotone
Et c'est comme ça
Qu'on a perdu connaissance
Et c'est comme ça
Qu'est née mon indifférence
Tout près de toi
Si loin déjà
C'est pas à pas et sans douleur
Le crime de retrouver nos nuits
Une porte qui claque entre deux coeurs
Un adieu en guise de mépris
Et si un jour on se pardonne
Parce qu'être seul est inutile
Faire comme les autres c'est monotone
Et c'est comme ça
Qu'on a perdu connaissance
Et c'est comme ça
Qu'est née mon indifférence
Tout près de toi
Si loin déjà
Et c'est comme ça qu'on a perdu connaissance
Et c'est comme ça qu'on a perdu connaissance
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